« On peut aimer la France nouvelle sans dénigrer la France de Jadis ». Cette citation empruntée à Achille Bardon est toujours d’actualité 94 après. Nous découvrons grâce à lui une minutieuse étude sur la ville d’Alais de 1250 à 1340.
De multiples aspects sont traités : l’organisation de la famille, l’organisation municipale, l’organisation judiciaire, l’impôt, l’alimentation, l’industrie, le commerce, le clergé et le culte, l’enseignement, les institutions charitables…
En chercheur méthodique et curieux, l’auteur (qui était alors receveur de l’enregistrement à Nîmes) avait traité par ailleurs divers sujets érudits comme : la maison de la providence à Alais, les criées du Marquisat de Portes, étude sur le couvent des Ursulines d’Alais, etc.…
Cette histoire de la capitale des Cévennes devrait trouver une bonne place dans toutes les bibliothèques des amoureux et passionnés de l’histoire du Gard et des Cévennes.