A Gallargues, on ne saurait évoquer notre passé, sans penser à notre concitoyen et ami Max GOURGAS.

Quel enfant n’est pas allé frapper à sa porte lors de la rédaction d’une enquête scolaire ?

Combien d’entre nous, chaque année, lors de la fête de la Saint-Martin, sont allés voir et revoir notre petit musée communal, fondé en 1970 en collaboration avec Charles RAOUX et Roland BOUAT.

Mais surtout, depuis 1971, lorsque fut créé le journal communal L’Avenir de Gallargues, ses rubriques à propos de notre passé étaient lues avec beaucoup d’intérêt par les Gallarguois, qu’ils soient de vieille souche ou fraîchement installés.

Passionné d’histoire, Max GOURGAS se défend avec modestie d’être un historien. Très variés, les articles qu’il a écrit pendant les dix-huit ans de parution, traitent aussi bien de la fondation de notre village à travers la légende de Gallus  et de la druidesse Vidia, que de la révocation de l’édit de Nantes, ou de la teinture de tournesols…

Son histoire est une histoire populaire, dans le meilleur sens du terme, qui n’a pour ambition que de faire découvrir et aimer notre si joli village.

Depuis la fin de la parution de notre journal, les Gallarguois étaient orphelins de leurs chères chroniques, et nombreux étaient ceux qui cherchaient à rassembler les vieux numéros du journal.

Depuis cet été, Max GOURGAS a repris sa plume pour le nouveau « Journal de Gallargues », et c’est grâce aux éditions Lacour que nous pouvons lire maintenant l’ensemble de son œuvre déjà parue.

B.ATGER