Il faut avoir le courage d'appeler les choses par leur nom et de se souvenir que "la science occulte" enseignée jadis dans les sanctuaires d'Egypte et de Grèce abordait avec soin l'étude de la Divination sous tous ses aspects. Témoin l'aventure de Socrate et du physiognomoniste (voy. Classiques). Et c'est maintenant qu'il nous faut répondre à ceux qui, débutant dans l'étude de ces sciences occultes, dont on s'occupe fort aujourd'hui, prétendent aussi diviser ces études en "partie sérieuse" et "partie folâtre". Lire dans la main, pour ces ignorants, c'est "rabaisser" ces augustes recherches; mais prononcer devant des bourgeois ébahis le mot "kether" ou évoquer les influences de la sixième séphire "Tiphereth", c'est rendre à ces recherches le "lustre" dont elles sont dignes.