Ce séjour sur une terre si lointaine à l'époque, fut profitable pour la perfection de ses qualités intellectuelles et administratives. Il en garda "un profond souvenir". Enfin, il accomplit parfaitement sa mission religieuse et c'était l'essentiel de sa vie...
Il fut appelé par ses supérieurs - malgré une santé délicate - à des charges nouvelles et éminentes au sein de la congrégation du Saint-Esprit. Il manifesta toujours un grand attachement à son pays d'origine -la Lozère-, et il visita, autant qu'il le put, ses parents de Langogne.
Le P. Benoît laissa le souvenir d'un homme "simple, aimable, bienveillant envers tous". J'ai toujours eu la paix"... confia-t-il peu de temps avant sa mort -presque subite- le 21 janvier 1932, en Algérie, où il avait pris sa retraite dans une Maison des Pères de son Ordre.