De tout temps, les Corses ont été un sujet d'étude pour les auteurs. « Ils aiment les fonctions et ont soif de la victoire, » dit Pierre de Cyrnée au seizième siècle. « Ils observent entre eux les règles de la justice et de l'humanité mieux que les autres barbares, » écrit Diodore de Sicile. « Ils sont généreux, francs et plus fidèles à leurs promesses qu'on ne l'est ailleurs à la foi du serment, » déclare Malte-Brun. « Nulle part, les différentes classes de la société ne vivent en relations plus fréquentes et je dirai plus intimes, » ajoute Mérimée. Volney, vers 1792, raconte avoir reçu « l'hospitalité la plus généreuse sous les toits des plus simples laboureurs et pasteurs ».
Chapitre Ier: De Marseille à Ajaccio
Chapitre II: D'Ajaccio à Petreto-Bicchisano
Chapitre III: De Petreto-Bicchisano à Sartène
Chapitre IV: De Sartène à Bonifacio
Chapitre V: Bonifacio et les grottes
etc..