Ce qui se dénommait hier « le port de La Nouvelle », est le berceau de ma famille du côté paternel. En 1844, le roi Louis-Philippe, le séparant de Sigean, mes ascendants et avec eux d'autres Nouvellois participèrent aux balbutiements de cette nouvelle commune et aux combats contre la nature et son puissant voisin, pour qu'elle prospère et devienne en 1951 Port-La-Nouvelle.
Alors pourquoi raconter une si vieille histoire ? Et bien parce des êtres humains, face aux éléments du ciel, des eaux et de la terre, contre les hommes parfois, ont su édifier ici un espace d'existence et un carrefour de vaillances.