Ce général qui n'avait pas quitté son armée, quand elle immolait Foulon, Berthier et les gardes du corps, quand elle menaçait les jours de LL. MM., la quitte quand il est menacé lui-même. Il fuit, il disparait de la scène de la Révolution, comme un héros de théâtre qui tombe et finit la pièce. Transfuge, et se faisant un bouclier de ce nom d'émigré dont il a fait un crime capital à tant de malheureux français, il se présente, suivi de quelques traîtres, aux postes avancés de l'armée autrichienne: il est pris et reconnu ... Texte en vieux français.