On se méfie des jaunes, l'Américain bon teint déteste les rouges, sans pour autant aimer beaucoup les noirs, les blancs ne sont plus le sel de la terre: virons donc au zinzolin et soyons frères.
"L'homme zinzolin" est une métaphore qui pourrait alors être utile. Restent de menues différences, celles qui font le charme.
Pierre Claudé y est très sensible, et sait nous faire partager ses émerveillements.
On éprouve un réel plaisir à lire "l'ironie de Pierre Claudé, ses acrobaties verbales, son humour, mais aussi la part plus grave de ses textes, parfois masquée, mais toujours présente et nullement incompatible avec le rire".