"Au début on travaillait à la faux et avec la faucheuse attelée au mulet. On faisait des "paillargues" (des bottes de foin tenues par des barres de bois et des ficelles) qu'on engrangeait à Novis. Puis on les ramenait à la maison au fur et à mesure, dans une charrette attelée au mulet et une autre tirée par l'âne du père Novis. C'était un grand âne, du Poitou je crois. Je me souviens qu'une fois il a fait la course avec notre mulet sur le chemin du Pailler (de la Can) pour être le premier arrivé :" Jeanine Teissier (extrait d'un des portraits).