Notice historique, suivie du plaidoyer de Freydier, avocat à Nîmes. Les ceintures de chasteté n'étaient donc pas d'un emploi aussi rare qu'on serait tenté de le croire à première vue, et nous en trouvons encore une preuve dans le plaidoyer de l'avocat Freydier en faveur d'une malheureuse que son amant forçait à s'embarrasser de cette prison portative, quand il allait en voyage. Ce plaidoyer est antérieur à 1750, année où il a été imprimé pour la première fois.