Cet ouvrage écrit par un penseur libre était diffusé dans le circuit du colportage. "Ce sont les avocats et les pharmaciens qui se créaient généraux; ce sont les gens de la camarilla qui traînaient le sabre et se galonnaient sur toutes les coutures; ce sont les coupe-bourses d'Italie, qui venaient à la rescousse du pillage; ce sont les purs qui braillaient dans les rues: "mourir pour la patrie !" mais qui ne mouraient pour rien du tout, n'ayant jamais exposé leur précieuse existence. Ce sont tous ces gens-là, enfin, qui hurlent ce cri stupide et lâche: "A bas les Jésuites et les Calotins !" Ah ! qu'ils feraient mieux d'écouter la voix de ceux qui ont osé, même parmi les ministres actuels, soutenir que sans la religion la France est une nation morte.1879"