Les toros ont manqué leurs rendez-vous avec les Cévennes mais ils n'ont pas abandonné pour autant et si, occasionnellement, on a pu voir des arènes portatives s'installer pour un jour ou deux ans la région, on peut constater que depuis une paire d'années, à l'occasion des fêtes d'Isis, les bious de Camargue sont revenus chez nous avec succès. Abrivados, bandidos et encierros, toute la panoplie camarguaise adaptée aux populations cévenoles, voilà certainement un bel avenir taurin pour le Vigan.