"Toutes les villes dont les franchises eurent de la force et de la vitalité possédèrent, dès les premiers temps de l'exercice de ces franchises, une maison commune, humble bâtiment ou somptueux édifice. Lyon, qui, grâce à l'admirable constance, à l'inimitable modération et aux efforts héroïques de ses habitants, reconquit des droits imprescriptibles, Lyon ne possédait pas, cent ans après la reconnaissance et la pleine jouissance de ses libertés municipales, une maison commune..."