Ce vers est extrait du Cimetière marin de Paul Valéry. Il est chargé de sens et la poésie ici prend le relais d'une subtile pensée métaphysique. Disons seulement qu'ici le songe est la poésie elle-même, mère et origine de cette pensée, de toute pensée. Les personnages des nouvelles de ce recueil se soucient peu de métaphysique mais on ne saurait les voir vivre simplement, soumis au temps qui passe, sans se poser les questions du sens de leur vie, de la Vie elle-même.